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Au bonheur des ogres

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Officiellement, notre pote Benjamin Malaussène (Raphaël Personnaz) est contrôleur technique dans le grand magasin Au bonheur parisien mais en fait, il sert surtout de bouc-émissaire. Quand quelqu’un est mécontent, c’est à lui qu’on fait appel afin de tout lui mettre sur le dos avec véhémence de sorte à apitoyer les clients qui renoncent alors à porter plainte. Un travail peu gratifiant que mais indispensable pour Benjamin qui doit prendre soin de ses 4 frères et sœurs que lui a confié sa mère partie en voyage. Le magasin fait parler de lui aux actualités car une explosion a eu lieu provoquant la mort d’un employé mais ce qui semblait n’être qu’un simple accident est en fait le début d’un plan longuement préparé.

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Publié en 1985, le roman de Daniel Pennac prend vie avec les caméras de Nicolas Bary qui nous avait bien surpris en 2007 avec Les enfants de Timpelbach. Cette fois on sera moins enthousiasme car si on retrouve des personnages hauts en couleur et un univers assez loufoque ; on a beaucoup plus de mal à accrocher à la réalisation chaotique. On a donc beaucoup de mal à prendre du plaisir dans ce capharnaüm malgré le fait qu’on s’attache à la famille Malaussène et plus particulièrement au personnage de Benjamin. Au bonheur des ogres est donc une comédie assez amusante sur la durée mais qui risque vous faire perdre pied bien avant le dénouement.

 

Il faut le voir pour : Changer votre pyjama si vous avez le même que celui de Benjamin !

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