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susan wooldridge

  • The lady

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    1988. Aung San Suu Kyi (Michelle Yeoh) vit en Angleterre dans la ville d’Oxford avec son mari Michael (David Thewlis) et est mère de 2 enfants ; Kim & Alexander (Jonathan Raggett & Jonathan Woodhouse). Un appel téléphonique lui apprend une mauvaise nouvelle : sa mère est gravement malade et c’est tout naturellement qu’elle décide d’aller à son chevet en Birmanie. Le retour dans son pays natal est brutal, un climat de répression règne sous l’impulsion du Général Ne Win (Htun Lin) qui n’hésite pas à faire couler le sang pour imposer sa loi. L’arrivée d’Aung San Suu Kyi n’est pas passé inaperçu car elle est la fille du célèbre Général Aung San assassiné lors du coup d’Etat de 1962 et un homme particulièrement apprécié du peuple. Beaucoup espère désormais qu’elle va reprendre ce prestigieux flambeau et mener le pays vers la démocratie.

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    Le nom d’Aung San Suu Kyi ne vous est certainement pas inconnu mais tout le monde ne connait pas son extraordinaire histoire. C’est notre Luc Besson national qui se charge donc de ce biopic ambitieux en mettant en scène une Michelle Yeoh totalement imprégnée de son rôle. Si The lady nous permet de connaitre davantage les sacrifices qu’a du supporter cette femme exceptionnelle et Prix Nobel de la paix en 1991, le film n’est pas exempt de tous reproches. On relèvera une dernière partie assez amorphe et un portrait un peu trop réducteur pour réellement rendre hommage à cette courageuse et grande dame. Il ne faut certainement pas s’attendre à un chef d’œuvre et on peut même dire que c’est l’aura d’Aung San Suu Kyi qui porte le film.

     

    Il faut le voir pour : Faire écouter plus de musique aux soldats !