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Juan Carlos Fresnadillo

  • Intruders

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    Bien qu’elle vienne de souffler ses 12 bougies, notre pote Mia (Ella Purnell) est effrayée lorsque vient le moment de s’endormir. En fait, il y a quelques jours elle a fait une drôle de découverte dans le jardin de ses grands-parents ; caché dans le creux d’un arbre, elle a trouvé une petite boite. En ouvrant celle-ci, elle tombe sur un bout de papier sur lequel est écrite une histoire vraisemblablement imaginée par un enfant et où intervient un monstre nommé Sans visage. Ça tombe bien pour la jeune fille qui doit justement inventer une histoire pour l’école mais elle ne sait pas qu’en faisant cela, elle va redonner vie à un traumatisant cauchemar.

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    Comme j’étais entré dans la salle sans voir ni bande-annonce ni affiche et après les premières minutes je pensais qu’il s’agissait là d’un nouveau film d’épouvante espagnol. Une lueur d’espoir qui allait rapidement s’éteindre. Intruders propose en fait de suivre alternativement 2 histoires dont on devine assez facilement le point de liaison. Pour le reste, c’est du cinéma d’épouvante à l’américaine comme on a trop souvent l’occasion de voir c’est-à-dire sans aucune inspiration dans lequel sont venus s’égarer Clive Owen & Carice Van Houten. Pas la peine d’aller dans la salle, on a d’ores et déjà identifié les intrus : ce sont les futurs spectateurs de ce long-métrage insignifiant.



    Il faut le voir pour : Interdire à vos enfants d’écrire des histoires d’horreur.

  • 28 semaines plus tard

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    Ils avaient réussi à échapper au virus en se réfugiant dans cette petite ferme mais les infectés les ont retrouvé. Pris par la peur, notre pote Don (Robert Carlyle) a même du se résoudre à abandonner Alice (Catherine McCormick), sa femme au milieu de ces créatures. 28 semaines plus tard, la menace s’est éteinte et le dernier infecté a été neutralisé depuis quelques mois ; La Grande-Bretagne se reconstruit doucement. Après une période de quarantaine, les frontières ont été réouvertes et c’est l’occasion pour Don de revoir ses enfants qui étaient en Espagne durant cette catastrophe. Tout semble revenir dans l’ordre mais la menace est-elle vraiment éteinte ?

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    Rythmé et diaboliquement efficace, ce nouvel opus confié au peu expérimenté Juan Carlos Fresnadillo possède des atouts non négligeables. On est subjugué par les scènes vives, la violence sans concessions loin des codes du genre entretenus à Hollywood et le personnage de Don génialement humain. Danny Boyle ne m’avait pas vraiment marqué avec le premier épisode, 28 semaines plus tard se révèle un tantinet plus sympa surtout parce qu’il révèle un réalisateur au potentiel intéressant. Il faudra le surveiller de près car il pourrait dans un proche avenir nous offrir de grands films.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à dégommer des contaminés avec un hélicoptère.