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  • Albator, Corsaire de l’espace

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    Dans un futur très lointain, l’espèce humaine n’a cessé de s’accroitre jusqu’à partir à la conquête de l’espace. Malgré tout, la Terre reste une planète unique et tout le monde souhaitait ainsi y revenir déclenchant ainsi la Guerre du retour. La Coalition Gaia a mit un terme à tout cela en proclamant que la Terre resterait un sanctuaire où personne ne serait autorisé à y vivre. Un homme s’éleva contre cette décision ; à bord de son vaisseau l’Arcadia, celui que l’on appelle Albator et tout son équipage sont déterminés à s’opposer à la Coalition. Il vient d’ailleurs de recruter Yama qui va vite se révéler être un espion infiltré pour tenter d’arrêter le corsaire de l’espace.

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    Ceux qui ont grandi dans les années 1980 connaissent certainement ce personnage mythique né sous le crayon de Leiji Matsumoto. Après de nombreuses séries animées et avec son bandeau sur l’œil avec sa joue balafrée, il nous revient bien plus beau qu’il était dans nos mémoires le voilà Albator, Corsaire de l’espace débarque pour la première fois au cinéma ! C’est sur que les yeux s’émerveilleront devant la beauté des images de synthèse et si on peut s’accommoder du scénario quelconque, c’est au niveau de l’action qu’on est déçu. Les rares scènes se révèlent en effet assez répétitives et sont finalement peu clinquantes d’autant qu’on voit assez peu Albator en action. Loin d’être extraordinaire, ça fera l’affaire pour les fans de la première heure et les nostalgiques.

     

    Il faut le voir pour : Se méfier des hologrammes !

  • Shokuzai - Celles qui voulaient oublier

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    Pour notre pote Akiko (Sakura Andô), la mort d’Emili (Hazuki Kimura) sonnait comme une véritable sanction pour avoir porté cette magnifique robe que lui avait offerte sa tante. Depuis ce tragique évènement, elle a bien compris qu’elle devait vivre comme un ours et c’est ainsi qu’elle s’est refermée sur elle-même 15 ans durant. De son coté, Yuka (Chizuru Ikewaki) semble avoir tourné la page puisqu’elle vient d’ouvrir sa propre boutique de fleurs et elle a beaucoup donné de sa personne pour cela. Coté vie sentimentale, elle pourrait bien avoir trouvé son prince charmant en la personne de Keita (Tomoharu Hasegawa) mais le seul souci c’est qu’il s’agit du mari de sa sœur ! Kyôko Koizumi (Asako Adachi) est toujours à la recherche de la vérité sur ce qui est arrivé à sa fille et s’apprête à découvrir l’effroyable vérité. 

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    Suite et fin avec Shokuzai - Celles qui voulaient oublier qui reprend un schéma identique à son prédécesseur à savoir 2 portraits et même 3 puisque la conclusion attendue est en fait un moyen de découvrir davantage le personnage de Kyôko. Là où il y a un peu de déception c’est que j’espérais une intrigue plus alambiquée où chaque portrait aurait fourni un élément de réponse sur les circonstances de la mort d’Emili. Ce second épisode traine aussi parfois en longueur notamment dans son ultime partie si bien qu’on se demande si cette version cinématographique est vraiment adapté (pour rappel il s’agit en fait d’une série japonaise de 5 épisodes). Malgré tout, l’ensemble constitue quand même une excellente œuvre où se mêle humour, drame ou encore fantaisie.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas présenter votre mec à votre sœur, surtout s’il est policier !


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  • Shokuzai - Celles qui voulaient se souvenir

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    La petite Emili (Hazuki Kimura) vient de quitter Tokyo avec ses parents pour un petit village et son adaptation dans sa nouvelle école se passe plutôt bien. Elle se trouve immédiatement 4 potes d’enfance que sont Sae, Maki, Akiko & Yuka (Yû Aoi, Eiko Koike, Sakura Andô & Chizuru Ikewaki) mais ces petites filles vont traverser une expérience traumatisante. Alors qu’elles jouaient à l’école, elles sont interpellées par un homme qui parvient à s’isoler avec Emili qui sera malheureusement retrouvée violée et assassinée. On ne mettra pas la main sur le coupable car sous le choc de l’évènement, les filles n’arrivent pas à se souvenir du visage de cet homme ce qui rend folle Kyôko Koizumi (Asako Adachi), la mère d’Emili qui n’est pas prête de leur pardonner sa mort !

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    A l’origine Shokuzai est un roman japonais de Kanae Minato qui s’est vu adapté pour la télévision nippone en une série de 5 épisodes. En passant les frontières, celle-ci se métamorphose en 2 films qui sont pour le coup indissociables. Avec Shokuzai - Celles qui voulaient se souvenir, on découvre donc cet évènement dramatique qui va lier les 5 personnages à savoir la mère de la victime et les 4 camarades de classe. On a droit alors à une succession de portraits en commençant ici avec les personnages de Maki & Sae et pour cette dernière notamment le spectateur a de quoi être déconcerté. Une première partie vraiment passionnante et qui nous donne qu’une envie ; celle d’aller voir au plus vite la suite.

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre mari s’il veut jouer à la poupée.


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