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  • Mesrine : L'ennemi public N°1

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    Après un bref exil au Canada, Jacques Mesrine (Vincent Cassel) est de retour en France. Ce voyage n’a pas calmé ses ardeurs ; il s’associe avec Michel Ardouin (Samuel Le Bihan) pour braquer des banques mais il manque de prudence. Le commissaire Brossart (Olivier Gourmet) est à ses trousses et parvient à le prendre au piège dans son propre appartement. L’arrestation de l’ennemi public N°1 fait les choux gras des médias et Mesrine ne se prive pas pour transformer ses procès en véritables spectacles. Mais au fond de lui, il sait que les choses se termineront de façon tragique, qu’il a de fortes chances de finir sous les coups de feu des policiers.

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    L’affiche est des plus alléchantes et Jean-François Richet ne déçoit évidemment pas dans la seconde partie de la vie de Jacques Mesrine. On retrouve un Mesrine plus affirmé, obnubilé par son desir de vengeance et de renversement de l’ordre établi. Le casting s’enrichit encore avec les seconds rôles tenus par Samuel Le Bihan, Mathieu Almaric & Gérard Lanvin ; Mesrine : l’ennemi public N°1 est plus que jamais un film de mecs. C’est donc l’apothéose d’une superbe saga qui espérons-le va dynamiser le cinéma français en la matière, si vous aviez apprécié la première partie ; la question ne se pose même pas.

     

    Il faut le voir pour : Se demander s’il y a oui ou non eu des sommations ?

  • Mesrine : L’instinct de mort

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    Après son retour d’Algérie, Jacques Mesrine (Vincent Cassel) avait 2 choix : accepter le boulot que son père lui avait trouvé ou se lancer dans des missions au black. C’est avec le soutien de son pote d’enfance Paul (Gilles Lellouche) qu’il commet ses premiers délits ; les hold-up et cambriolage lui permettent de remplir ses poches en un temps record. Très vite, il est présenté à Guido (Gérard Depardieu) et les affaires s’enchainent, un grand criminel est né et rien ne semble pouvoir l’arrêter. Eternel séducteur, Jacques rencontre Sofia (Elena Anaya) avec qui il va avoir un enfant ; une situation qui le convainc de se ranger mais combien de temps pourra t-il tenir ainsi ?

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    Sans conteste l’un des grands évènements du cinéma français de l’année avec cette adaptation de Jean-François Richet de la vie tumultueuse de celui qui fut surnommé L’ennemi public N°1. Pour incarner Mesrine, Cassel ne s’est pas contenté de prendre quelques kilos, il habite le personnage et porte naturellement Mesrine : L’instinct de mort. A la hauteur de ce que l’on attendait et bénéficiant d’un casting des plus prestigieux, on reste un peu sur notre faim ; la seconde partie devrait pouvoir dissiper rapidement cette légère déception. Cela n’empêche pas le fait que ce film fera date dans l’histoire du cinéma français.



    Il faut le voir pour : Arrêter de dire "Messerine"