Amazonia
Un avion survole la foret amazonienne lorsque tout d’un coup un accident se produit et l’appareil s’écrase. Par chance, le pilote s’en sort indemne et laisse derrière lui la carcasse dans laquelle se trouve un petit capucin enfermé dans une cage et il a encore du mal à se remettre de ses émotions. Un coup de main ou plutôt de griffes va lui permettre de retrouver la liberté et c’est ainsi qu’il fait ses premiers pas dans un environnement aussi riche que dangereux. La survie commence tout d’abord par la recherche de nourriture tout en restant sur ses gardes s’il ne veut pas terminer dans l’estomac des prédateurs de cette jungle. Heureusement pour ce petit capucin, il y a aussi de belles rencontres qui l’attendent.
D’un point de vue strictement personnel (et donc totalement insignifiant pour vous), j’ai une tendresse toute particulière pour les singes (c’est aussi mon signe astrologique chinois mais ça aussi vous vous en foutez ?) donc difficile de résister à cet adorable capucin. Amazonia c’est donc un joli documentaire qui vient nous immerger au cœur de la jungle amazonienne et ici pas de voix off pour interférer dans ce retour à la nature. Une histoire est vaguement brodée autour du capucin et si dans un premier temps on est plutôt ébloui par la découverte de la foret, la dernière demi-heure est bien moins enthousiasmante avec une conclusion maladroite. On aurait aussi apprécié un peu plus de pédagogie par exemple par des sous-titres nous présentant plus en détail cette impressionnante faune.
Il faut le voir pour : Tirer la langue quand vous verrez un serpent, ça le fera peut-être pas fuir mais ça sera marrant !