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A l'intérieur

  • A l’intérieur

     

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    Mettre au monde un enfant et qui plus est le jour de Noël, on ne pourrait imaginer pareil bonheur et pourtant Sarah (Alysson Paradis) est loin de vivre un conte de fées. Voici 4 mois que son mari Matthieu (Jean-Baptiste Tabourin) est mort lors d’un accident de la route et le désespoir la gagne à l’idée d’élever cet enfant toute seule. Son attitude est de plus en plus renfermée malgré le soutien de ses proches ce qui explique qu’elle ait décidée de s’isoler pour cette dernière nuit avant l’accouchement. Alors que tout le monde réveillonne, Une femme (Béatrice Dalle) vient sonner à sa porte. Une femme qui connaît toute son histoire et qui vient chercher quelque chose à l’intérieur de la maison !

     

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    Le cinéma français commence à se diversifier en lorgnant vers les thrillers, une initiative que l’on ne peut que saluer mais cela ne donne pas forcément des résultats brillants. A l’intérieur part sur une base on ne peut plus simple, tentant dans un premier temps d’instaurer un climat de tension particulièrement accentué par les jeux d’ombre et lumière. Par la suite, il faut avoir le cœur bien accroché pour vivre des scènes toutes plus violentes les unes que les autres justifiant amplement l’interdiction aux moins de 16 ans. Des litres d’hémoglobine qui tentent de camoufler un scénario branlant et qui finissent par nuire au film qui ne devient qu’une succession de scènes gores.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus jouer avec vos ciseaux.