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Les nuits rouges du bourreau de Jade

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Jusqu’à présent tout a fonctionné comme l’avait prévu notre pote Catherine (Frédérique Bel) ; elle a laissé derrière elle le corps sans vie d’un ancien ministre français récupérant au passage un objet de grande valeur. Direction Hong-Kong où se trouve son contact mais c’est là que les problèmes surgissent ; la transaction se finit en un bain de sang duquel Catherine en réchappe de justesse. La responsable de ce massacre est une certaine Carrie (Carrie Ng) qui a désormais l’objet précieux entre ses mains ; il s’agit d’un sceau impérial qui renferme un flacon d’un puissant poison. Celui-ci n’a pas d’égal dans le monde, il est capable de vous paralyser de la tête au pied et Carrie eut s’en servir pour assouvir ses plus bas instincts.

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Ce film présente 2 facettes ; un coté thriller et un autre davantage porté vers l’horreur. N’allons pas par 4 chemins, la première partie est un ratage complet en grande partie à cause de la mauvaise prestation de Frédérique Bel. Il y a également un détail qui dérange ; je n’arrive pas à concevoir qu’un dialogue entre 2 personnages puissent se faire d’un coté en cantonnais et de l’autre en français ! Il aurait fallu trancher car là c’est se moquer ouvertement du spectateur. On reste plus mesuré avec l’aspect horreur qui n’est pas sans rappeler un Ichi the killer au féminin mais cela est loin d’être suffisant pour sauver Les nuits rouges du bourreau de Jade. Un beau petit navet.

 

Il faut le voir pour : Découvrir la véritable recette du Dry Martini.

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