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La disparition d'Alice Creed

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Tout a été préparé minutieusement et surtout toutes les précautions ont été prises, Victor & Danny (Eddie Marsan & Martin Compston) peuvent désormais passer à la suite de leur plan. Dans leur fourgon, ils attendant qu'elle sorte puis se ruent vers elle et la kidnappe sans laisser de témoin. Confinée dans une chambre, Alice Creed (Gemma Arterton) est prise de panique, ne comprenant pas ce qui vient de lui arriver. Très vite les kidnappeurs lui font savoir qu'ils vont demander une forte rançon à son père et celui-ci a tout intérêt à la payer s'il veut la revoir vivante mais un secret plane au-dessus de cet enlèvement.

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Un départ en fanfare, un kidnapping orchestré de main de maitre puis pas mal de questions surviennent. Pendant plus d'une heure, c'est un huis-clos nerveux puis le voile se lève soudain et s'en suit alors un jeu de chaises musicales où chaque personnage devient tour à tour manipulateur et manipulé. Si La disparition d'Alice Creed parvient à nous captiver au départ, une fois qu'on a toutes les cartes en main ; le film ne nous réserve plus beaucoup de surprises. Le dénouement est pour le moins décevant pour ne pas dire bâclé ; chose qu'on peut pardonner pour une première réalisation et au vu d'un budget peu onéreux.

 

Il faut le voir pour : Ne pas jeter n'importe quoi dans les WC, vous pourriez avoir du mal à l'avaler.

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