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L’affaire Farewell

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Début des années 1980 à Moscou, l’histoire est en train de s’écrire car nous sommes en plein coeur du conflit que l’on connait aujourd’hui comme La guerre froide. Au départ, Pierre Froment (Guillaume Canet) voulait juste rendre service en servant de messager mais sa rencontre avec Sergueï Gregoriev (Emir Kusturica), agent du KGB va être déterminante pour sa vie future. C’est à partir de ce moment là qu’il est devenu le seul interlocuteur pour Gregoriev qui lui confie des informations de la plus haute importance. Ce que l’on surnomme en haut lieu L’affaire Farewell est d’une telle envergure qu’elle implique des chefs d’état comme Ronald Reagan (Fred Ward) ou encore François Mitterrand (Philippe Magnan).

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Se reposant sur des faits réels, L’affaire Farewell s’annonçait comme un thriller passionnant mais dès lors que l’intrigue a été mise en place, le film nous abandonne dans l’expectative. Christian Caron préfère alors s’attarder sur la vie personnelle des deux personnages campés respectivement par Guillaume Canet & Emir Kusturica reléguant pratiquement l’aspect espionnage au second plan. D’une affaire d’importance internationale, on passe à des choses futiles comme l’adultère de Gregoriev ou la crise maritale de Froment. De cette grosse baisse de rythme, le film ne s’en relèvera à aucun moment malgré un duo d‘acteurs prestigieux ; scénario potentiellement intéressant mais résultat final indigeste !



Il faut le voir pour : Verrouiller les portes de votre voiture quand vous vous arrêtez aux feux rouges.

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