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VIncent Elbaz - Page 2

  • Le dernier gang

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    La région parisienne dans les années 1980, les méfaits d’un gang de braqueurs défraient la chronique et ridiculisent les forces de l’ordre. A l’origine de ce gang surnommé les postiches, on retrouve 2 anciens taulards Simon & Casa (Vincent Elbaz & Sami Bouajila). Depuis, avec la complicité de nombreux potes d’enfance, ils écument la capitale à la recherche d’une banque à dévaliser jusqu’au jour où Simon croise les yeux de Julie (Clémence Poésy). C’est le début d’une histoire d’amour et pourquoi pas d’une nouvelle vie qui se profile à l’horizon pour ce gangster. Pendant ce temps, Milan (Gilles Lellouche), un flic infiltré bien décidé à mettre fin aux agissements du gang qu’importent les méthodes à utiliser.

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    Véritable foire médiatique provoqué à l’époque par cette bande hors du commun, l’histoire du Gang des potiches reste aujourd’hui encore assez fascinante. Le dernier gang ne se veut pas une adaptation fidèle mais une histoire librement inspirée et Ariel Zeitoun réussit un film efficace qui tourne néanmoins dans le schéma classique du policier à la poursuite du criminel. Bon film avec un Vincent Elbaz au top de sa forme dans peut-être son plus grand rôle jusqu’à maintenant et un Gilles Lellouche qui commence à s’imposer dans le cinéma français.

     

    Il faut le voir pour : Toujours repérer une banque avant un hold-up et surtout comment ouvrir la porte d’entrée !
  • Tel père, telle fille

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    Notre pote Bruno (Vincent Elbaz) est un rocker, un rebelle anticonformiste et ce depuis sa jeunesse. Aujourd’hui, la trentaine aidant, le message est toujours là mais l’énergie n’y est plus vraiment ; Bruno ressemble plus à un looser qu’autre chose toujours en train de squatter à gauche et à droite. Quand il reçoit un coup de fil d’Alice (Léa Drucker), une ex qu’il n’a pas revu depuis au moins 14 ans et quand celle-ci lui annonce qu’il a une fille, c’est le grand choc. Au début très méfiant, il finit par accepter de rencontrer Nancy (Daisy Broom) mais les difficultés ne font que commencer car elle s’apprête à traverser la période tant redoutée de l’adolescence.

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    On aurait pu croire que ce film serait davantage destiné aux plus jeunes et notamment aux adolescents mais Tel Père, telle fille drague un public plus large. On assiste ainsi à la prise de maturité de ce rocker has-been, se rendant enfin compte qu’il a des responsabilités à tenir. Une comédie française plutôt sympathique servie par un très bon Vincent Elbaz totalement immergé dans le rôle de Bruno. Ce dernier devient rapidement attachant par sa nonchalance. Si vous avez envie de vous détendre entre 2 jours pluvieux, vous pouvez donner une chance à ce film qui est par ailleurs l’adaptation d’un roman de Virginie Despentes.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir le café basket.