Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Paradis : Foi

star 01.5.jpg

aff.jpg

Si notre pote Anna Maria (Maria Hofstätter) vit seule, il y a pourtant un homme qui est toujours à ses cotés : Jésus Christ ! Il n’y a pas un jour où elle ne lui adresse pas ses prières et parfois même sa foi absolue la pousse à se flageller devant la croix. Infirmière de profession,  elle est actuellement en congés et va pouvoir profiter de ce temps libre afin de diffuser la bonne parole. Avec une statue de la vierge Marie entre les mains, elle rend ainsi visite à différentes familles et tente de ramener ces quelques brebis égarés auprès du Seigneur. Un soir, alors qu’elle rentre à la maison, elle découvre que Nabil (Nabil Saleh) est revenu et cet homme n’est autre que son mari.

01.jpg

Avant toute chose, il peut-être utile de préciser ou de vous rappeler que Paradis : Foi s’inscrit dans une trilogie appelée Paradis initiée par l’autrichien Ulrich Seidl. On avait déjà découvert les vacances animées de Teresa dans Paradis : Amour et cette fois avec le portrait de sa sœur Anna Maria, on effectue un virage à 180° puisqu’on suit désormais une fervente catholique. Au niveau du rythme en revanche pas de révolution en vue ; le quotidien est fait de prières et de visites et il n’y a que l’arrivée du personnage de Nabil qui apporte un peu d’animation. Déjà que la religion n’est pas mon sujet de prédilection, ça ne risque pas de changer avec ce portrait moins controversé que le précédent mais aussi plus abordable pour le spectateur.

 

Il faut le voir pour : Eviter de trainer dans les parcs la nuit, vous pouvez vraiment y faire de drôles de rencontres.



En savoir plus sur
Paradis : Amour ?


En savoir plus sur Paradis : Espoir ?

Les commentaires sont fermés.