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Jean-Michel Basquiat : the radiant child

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Jean-Michel n'a pas encore 18 ans lorsqu'il décide de s'installer à Manhattan, dans le quartier de Downtown, comme beaucoup d'artistes à cette époque en quête de reconnaissance. Dans un premier temps, l'expérience est douloureuse ; il vit dans la rue et se nourrit exclusivement de chips mais il parsème son art sur les murs. Au milieu des graffitis, certaines phrases éveillent la curiosité des passants, des fulgurances poétiques signées par un certain Samo. On découvre assez vite que derrière ce pseudonyme se cache Jean-Michel Basquiat, un artiste au potentiel phénoménal qui va connaitre un succès foudroyant. Son inspiration provient de tous les horizons ; il est aussi sensible aux tableaux de Picasso qu'à la trompette de Sammy Davis Junior.

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A moins d'être un amateur d'art averti, vous vous poserez comme moi cette question capitale ; mais qui est Jean-Michel Basquiat ? Ce film de Tamra Davis vient donc combler nos lacunes puisque cet artiste a laissé un souvenir impérissable à de nombreuses personnes ainsi qu'à un mythe du calibre d'Andy Warhol. Bien entendu Jean-Michel Basquiat : the radiant child est à l'image de toute œuvre d'art c'est-à-dire qu'il peut aussi bien passionner par la découverte d'un véritable univers que vous rebuter par son aspect délibérément abstrait. On est en fait entre deux eaux ; on est plutôt curieux et émerveillé devant le parcours extraordinaire de l'artiste mais la dernière demi-heure parait quant à elle interminable !

 

Il faut le voir pour : Apprendre qu'on peut aussi peindre sur des portes ou des frigidaires !

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