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Phénomènes

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New York, Central Park ; il est 8h33. Une journée ordinaire débutait quand un phénomène étrange est apparu. Le brouhaha de la vie quotidienne a laissé place à un silence religieux ; les gens sont devenus immobiles et ont commencé à se suicider sans explications. Elliot Moore (Mark Wahlberg) est prof à Philadelphie et quand le monde commence à entendre parler de ces différentes tragédies, c’est la panique générale. Toutes les hypothèses sont soulevées ; attaque terroriste, expérience militaire ou virus. Très vite, les villes sont évacuées pour tenter d’échapper à cette menace inconnue mais il semble que personne ne pourra éviter l’inéluctable.

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Après La jeune fille de l’eau, M. Night Shyamalan fait son come-back avec un film catastrophe où l’humanité vit ses dernières heures. Vu comme ça, Phénomènes est bien plus intéressant sur le papier que devant le grand écran car il faut bien dire qu’il ne s’y passe pas grand-chose. Mark Wahlberg et ses potes se contentent de prendre la route et les seules scènes censées nous scotcher à notre fauteuil voient du vent souffler sur la verdure chatoyante des paysages. Le seul intérêt reste encore l’avertissement écologique lancé par le réalisateur mais beaucoup de vent pour un film très loin d’être convaincant.

 

Il faut le voir pour : Ne jamais se resservir à table sans en demander l’autorisation.

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