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sarah michelle gellar

  • The return

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    On ne peut pas dire que son métier la passionne mais Joanna Mills (Sarah Michelle Gellar) apprécie de pouvoir prendre si souvent la route et échapper ainsi à sa vie. Commerciale particulièrement douée ; elle doit rencontrer un gros client au Texas, un coin des Etats-Unis qu’elle connait bien pour y avoir passé son enfance. Elle s’était toujours interdit de revenir car à l’âge de 11 ans elle a traversé une période pour le moins traumatisante où des hallucinations lui faisaient perdre la tête la poussant jusqu’à se mutiler. Ces douloureux souvenirs qu’elle pensait enfouis vont ressurgir brutalement mais cette fois elle est bien décidée à y faire face.

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    Alors qu’on s’attend à un énième film fantastique dans la veine de The Grudge ou The ring ; on reste ici dans un concept un poil plus terre à terre si l'on peut dire. The return joue sur les nerfs de son héroïne et sur les nôtres par la même occasion mais l’atmosphère mystérieuse fait davantage somnoler le spectateur qu’autre chose. Après avoir conquis les téléspectateurs avec la série Buffy contre les vampires, on ne peut pas dire que Sarah Michelle Gellar ait vraiment su s’imposer au cinéma mais a le mérite de ne pas encore s’être fait oublié. De fantastique, le film n’en a que le genre et vous pouvez être surs que je ne vais pas retourner le voir de sitôt !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de ressasser le passé

  • The Grudge

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    Karen  & Doug (Sarah Michelle Gellar & Jason Behr), 2 jeunes amoureux se sont installés au pays du soleil levant. Ce changement de vie, ils y ont longuement réfléchi puisqu’ils poursuivent sur place leurs études et Karen fait actuellement du bénévolat au centre de soins de santé. D’ailleurs, on va lui proposer une mission de dernière minute puisque Emma Williams (Grace Zabriskie) n’a pas eu la visite de la fille qui était censé s’occuper d’elle. En pénétrant dans cette maison, notre pote Karen ne sait pas encore que sa vie est menacée car de nombreuses rumeurs circulent sur l’apparition de phénomènes étranges et il se pourrait bien qu’elles soient fondées.

     

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    Après The Ring, voilà la seconde adaptation américaine d’un film d’épouvante sorti il y a quelques temps déjà sur les écrans japonais. La réalisation a été confiée à Takashi Shimizu à qui l’on doit l’œuvre originale mais est toutefois assez édulcorée pour s’adresser à un large public. Mettre des acteurs occidentaux comme Sarah Michelle Gellar semble rassuré les producteurs et la notoriété qu’elle a acquis avec Buff contre les vampires peut servir à rassembler quelques fans hystériques. The Grudge est un film d’épouvante sans grande saveur où les principaux sursauts sont dus à quelques poussées de son bien placées en dehors de ça rien de bien folichon qui donnera quand même une suite fin 2006 avec The Grudge 2.

     

     

  • The Grudge 2

     

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    Quand sa mère l’envoie au Japon pour ramener sa sœur Karen (Sarah Michelle Gellar), Aubrey (Amber Tamblyn) ne se doute pas encore du cauchemar qui l’attend sur place. Karen fut victime de la malédiction d’une étrange maison où a eu lieu un drame terrible et a atterri à l’hôpital mais la menace plane toujours. Aubrey attirée par ce mystère, va avec l’aide d’un journaliste local, Eason (Edison Chen) tenter de comprendre ce qui a bien pu se passer.

     

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    Déjà que je me méfie énormément des suites mais alors quand il s’agit de la séquelle d’un remake américain d’un film japonais, je redouble de vigilance. The Grudge 2 est un film d’épouvante aux rebondissements assez téléphonés mais qui bénéficie tout de même d’une réalisation morcelée pour tenter de tenir le spectateur en haleine. A noter que dans la salle de ciné, le son a été monté à son maximum pour garantir les sursauts des spectateurs sans ça on aurait peut-être fini par faire la sieste devant un film tout juste correct.

     

    Il faut le voir pour : Le réalisateur Takashi Shimizu (celui du film japonais) qui nous offre une suite originale et non le remake de la version japonaise.