The silent house (La casa muda)
Laura (Florence Colucci) et son père (Gustavo Alonso), s’étaient rendus dans cette maison à la demande de Nestor (Abel Tripaldi). Il s’agissait d’une vieille maison qui avait besoin d’être rafraichi et cela dans le but de la vendre prochainement. Arrivés dans la soirée, ils ont à peine le temps d’y jeter un œil avant de se coucher mais au cours de la nuit, Laura entend des bruits étranges provenant de l’étage. Intriguée et affolée, elle réveille son père qui, pour la réconforter, va s’assurer qu’il n’y a rien d’anormal là-haut. Les bruits de pas laissent soudainement place à des cris d’horreur, avant qu’elle ne puisse comprendre ce qui lui arrive, elle retrouve son père gravement blessé et ligoté.
Il faut savoir lire entre les lignes lorsqu’un film comme The silent house (La casa muda) vous annonce qu’il est basé sur des faits réels. On a évidemment tendance à partir d’un simple fait divers pour en faire tout un pataquès intégrant des fulgurances de fantastique. C’est le cas ici de ce film d’épouvante uruguayen qui s’essouffle à une vitesse faramineuse, pas facile de garder le rythme avec ce plan séquence unique. On l’aura deviné, le silence joue aussi un grand rôle dans ce film cependant, c’est bien moins efficace quand on a un spectateur dans la salle qui ronfle (Véridique !). Loin d’être extraordinaire, un film qui ne fera pas beaucoup de bruits.
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