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Les temps modernes

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Une nouvelle journée de travail commence à l’usine Electro Steel Corp et tous les ouvriers se pressent pour pointer et rejoindre leurs postes de travail. Parmi eux, se trouve notre pote Charlot (Charlie Chaplin) chargé d’une mission délicate : serrer les boulons à un rythme effréné ! Il faut dire que le Président (Al Ernest Garcia) n’hésite pas à augmenter la cadence lorsqu’il considère que cela traine un peu. Une intensité qui va finir par rendre notre pote ouvrier complètement fou si bien qu’il va terminer sa journée à l’hôpital. A peine remis de ses émotions, il va ensuite se retrouver involontairement à la tête d’une manifestation avant d’être arrêté par la police. Après son petit séjour en prison, il est relâché et va alors rencontrer une gamine (Paulette Goddard) qui trainait dans la rue dont il va tomber amoureux.

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Un classique du cinéma ! Les temps modernes est par ailleurs souvent cité en référence dans les cours d’économie puisqu’il épinglait avec une grande dérision le principe de la division du travail et ses effets aliénants. Outre cette célèbre scène de la chaine d’assemblage, c’est également une photographie de la société de l’époque où les machines se substituaient au travail humain et lançait les premières heures de la productivité de masse. Chaplin surprend en réalisant un film quasi-muet alors qu’à l’époque le cinéma parlant était alors devenu monnaie courante. Il est à noter que ce film marque également la dernière apparition du personnage de Charlot et paradoxalement c’est la première fois qu’on entend sa voix lorsqu’il entonne la célèbre chanson de Léo Darniderff, Je cherche après Titine.

 

La scène à ne pas louper : La machine à déjeuner !

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