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La possibilité d'une île

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C’était un boulot comme un autre pour notre pote Daniel (Benoit Magimel) qui écumait les routes en compagnie du Prophète (Patrick Bauchau) et de Slotan (Andrzej Seweryn). Pour cette secte, chaque séminaire était l’occasion de présenter leurs idées sur l’existence humaine et surtout la possibilité de découvrir le secret de la vie éternelle. Tout ayant une fin, Daniel a finit par s’éloigner de ce groupe jusqu’à ce qu’il croise de nouveau leur chemin quelques années plus tard au cours d’un voyage. Il retrouve ainsi le Prophète qui souhaiterait qu’il revienne parmi eux et surtout qu’il devienne son héritier spirituel.

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En matière de littérature, Michel Houellebecq est peut être considéré par certains comme un grand maitre, un talent qu’il a voulu offrir au cinéma, quel cadeau empoissonné ! Pour sa première réalisation, il fait d’une pierre deux coups en signant l’adaptation de son propre roman La possibilité d’une île mais on ne s’improvise pas cinéaste comme ça. L’histoire est difficile à comprendre, il ne se passe strictement rien pendant 1H30 si ce n’est un Benoit Magimel qui déambule à droite et à gauche. Faut-il avoir lu l’œuvre de Houellebecq avant de s’attaquer au film pour l’apprécier ? Là est la question.

 

Il faut le voir pour : Se vanter d’être un des rares spectateurs à avoir vu le premier film de Houellebecq !

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