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Deux jours à tuer

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A 42 ans, notre pote Antoine Méliot (Albert Dupontel) a comme qui dirait péter un plomb. Il a revendu ses parts d’une grande boite de publicité et on l’a aperçu main dans la main avec une autre femme. En réalité, il est fatigué par la vie qu’il mène où la routine a finit par prendre le pas sur le bonheur qu’il avait. Après un violent coup d’éclat avec sa femme Cécile (Marie-Josée Croze) et son entourage ; il plaque tout et prend la direction de Cherbourg. C’est là-bas que vit son père qui l’avait abandonné à l’âge de 13 ans et aujourd’hui il veut mettre les choses au clair car en réalité derrière tout ça se cache une triste vérité.

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Violente remise en question dans ce dernier film de Jean Becker où le héros s’interroge sur le concept du bonheur et sur le sens même de son existence. Albert Dupontel incarne avec justesse cet homme blasé qui n’hésite pas à remettre en question tout ce qu’il a construit au cours des longues années et qui finalement ne représente qu’une infime partie de sa vie. La scène du diner est particulièrement réussie, mélange de tensions et de cynisme où Dupontel peut faire resplendir tout son talent. Deux jours à tuer est un beau film sincère et touchant qui donne à réfléchir sur certains aspects de notre vie.

 

Il faut le voir pour : Ne plus écouter les messages publicitaires pour les yaourts.

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