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L'orphelinat

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C’est dans cette demeure qu’elle a passé une partie de son enfance. Il y a quelques années encore il servait d’orphelinat puis Laura (Belen Rueda) a quitté ses camarades quand elle a trouvé une famille d’adoption. Aujourd’hui, elle veut en faire un établissement d’accueil avec l’aide de son mari Carlos (Fernando Cayo) sans oublier leur fils Simon (Roger Princep). Pour protéger ce dernier, ils ne lui ont jamais révélé qu’il avait été adopté tout comme le fait qu’il est gravement malade, atteint du virus du sida. Alors que l’on célébrait l’ouverture du foyer, Simon disparait sans laisser aucunes traces. Les mois passent et Laura continue de s’accrocher à l’espoir de retrouver son fils et si ses amis imaginaires avaient un lien avec tout ça ?

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Propulsé plus grand succès de l’histoire du cinéma espagnol, Juan Antonio Bayona réussit avec peu de moyens et d’artifices à nous pondre un bon film d’épouvante. Malgré un scénario intéressant, on regrette que L’Orphelinat n’ait pas su se créer une véritable identité face aux autres films du genre. L’atmosphère mystérieuse de cette grande maison hantée par des esprits tourmentés rappelle un peu les productions japonaises en la matière. Sans se fondre dans le film purement fantastique, Bayona signe une première réalisation prometteuse mais qui manque de caractère pour pouvoir s’imposer.

Il faut le voir pour : Organiser une chasse au trésor pour vos enfants.

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